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2017.05.19
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Après la rupture, ils se recroisent deux fois par hasard à Liège, et Véronique Pirotton lui mentionne sa rencontre avec Bernard Wesphael. Vous êtes heureux pour elle? Je suis un peu étonné, mais elle a l'air bien.Tous deux renouent toutefois une relation en octobre 2012, deux mois après le mariage de la victime. Bon, c'est vrai que c'est discutable moralement..., déclare le témoin. La morale n'a pas de place ici, c'est le droit, répond le président. Il dit encore que Véronique lui avait fait part de sa désillusion, de son désenchantement. Véronique, à défaut d'amour, avait besoin de sécurité, et elle ne l'avait pas autant qu'elle l'espérait.Il revient alors sur une lettre parfumée qu'il avait écrite à la victime, et déposée dans sa boîte aux lettres, alors que Bernard Wesphael vivait chez elle. C'est vrai que c'est ce qu'il y a de plus discret pour garder une relation secrète!, commente Philippe Morandini. Que se passe-t-il après qu'il ait découvert cette lettre, que vous aviez si bien cachée?, poursuit-il. Ca le contrarie..., répond le psychologue.L'homme a également été questionné sur les photos de Bernard Wesphael retrouvées dans son ordinateur, dont certaines portant l'insigne nazi. Ce sont des photos qu'on trouve sur internet, selon le témoin.

Peu avant les faits, Véronique Pirotton lui avait fait part de son désir de quitter l'accusé. Elle ne va pas bien, elle se rend compte que la rupture est quelque chose de compliqué, elle est embarrassée par le regard des autres, et puis il y a Victor. Elle sent aussi que son mari s'accroche. Plus elle assume son désir de séparation, plus elle est en danger, dit-il. En octobre, elle précise que cela s'est arrangé, et que Bernard Wesphael ne s'oppose plus à la séparation.Oswald D. était par ailleurs au courant que la victime se rendait à la mer, à l'hôtel Mondo. Vous connaissez cet hôtel?, lui demande le président. Non. Pourtant, on retrouve une photo de l'hôtel Mondo dans votre ordinateur, mais ce n'est pas grave, continuez...La cour est aussi revenue sur les enregistrements de conversations entre Véronique Pirotton et le témoin, effectués par celui-ci. Il avance qu'il craignait pour elle. Pourquoi en avez-vous effacé une partie? Je n'ai gardé que ce qui était significatif...Les appels entre l'amant et Mme Pirotton le jour des faits et le SMS qu'il a reçu de Bernard Wesphael vers 16h00, disant: Regarde bien, pauvre homme, ont enfin été abordés. Vous avez le numéro de M. Wesphael?, lui demande le président de la cour. Oui, je l'appelle tous les jours, rétorque celui-ci. Une remarque qui a fait bondir le président.

Philippe Morandini a rappelé le témoin à l'ordre, haussant la voix. Je ne suis pas là pour rire. Quelqu'un est décédé, je vous demande d'avoir un peu de respect, et le premier respect c'est envers la société. Vos remarques humoristiques, pas ici. En cas de faux témoignage, cher monsieur, vous encourez la même peine que celle que risque l'accusé pour les faits, à savoir 30 ans. Alors votre cinéma, j'en ai plus qu'assez! Nous sommes ici pour établir une vérité. Et cette vérité, on y arrivera avec ou sans vous. Je suis là pour vous aider, répond le témoin. On ne le dirait pas!, rétorque le président.Le témoin a ensuite repris son récit, qui a été écourté peu de temps après pour permettre aux parties de poser des questions.A l'issue de l'audience, qui s'est terminée peu après 21h00, l'avocat d'Oswald D., Me Lethé, a déclaré à Belga que l'agressivité montrée aujourd'hui à l'égard de son client est inadmissible. Leur relation était de nature amicalo-amoureuse et ils avaient occasionnellement des relations sexuelles. Deux autres témoins ont décrit une personne brillante, qui n'était pas suicidaire. Véronique Pirotton était très douce, gentille. Il y avait dans notre relation la magie de la présence de l'autre. C'était la fusion des sens, a déclaré F.D.

En juillet 2012, il a toutefois décidé qu'il était préférable qu'ils ne se voient plus, à cause d'Oswald D. Je me sentais harcelé, il était en bas de mon immeuble, me suivait. Il témoigne aussi d'une scène où il était attablé avec Véronique Pirotton et d'autres amis, et où Oswald D. était arrivé pour parler plusieurs fois à la victime, de manière assez violente. La troisième fois, je suis intervenu, j'ai dû le mettre en position horizontale de sécurité. Je lui ai dit: Véronique, ce mec est dangereux, il va tout te prendre.Véronique et F.D. ne se côtoient plus pendant un an. Il apprend ensuite qu'elle aurait déposé plainte contre lui pour harcèlement. Je l'ai revue en juillet 2013, en bas de chez moi. Elle voulait me parler. Je lui ai demandé pourquoi elle avait porté plainte. Elle s'est excusée, je l'ai prise dans mes bras. Je n'ai jamais compris ce changement dans son comportement. Il indique encore qu'elle lui avait fait part, deux ou trois mois avant sa mort, qu'elle était triste et malheureuse.Il précise qu'il ne lui connaissait pas de problèmes d'alcool. On avait toujours le même modus operandi. On mangeait - c'était une cuisinière exceptionnelle -, et on buvait une bouteille de vin, jamais d'alcool fort. Je n'ai jamais entendu parler de suicide.

Un avocat ayant côtoyé Véronique Pirotton a également témoigné. Ils se sont connus car son ex-beau-fils a réalisé une partie de son parcours scolaire avec Victor, le fils de Mme Pirotton. Selon lui, la victime était quelqu'un de passionné, romantique, assez dans l'émotionnel et le ressenti.Lors d'une conversation dans un café de Liège en septembre 2013, alors qu'ils attendent le retour d'excursion des enfants, elle lui confie qu'elle n'est pas heureuse en ménage, et qu'elle le consulterait pour entamer une procédure de divorce avec son mari. Durant cette rencontre, Véronique Pirotton a suggéré qu'elle avait peur, faisant état de réactions excessives de la part de son mari, mais il n'a pas reçu de confidences de coups et blessures. Elle avait aussi abordé sa relation avec Oswald D., mais j'avais coupé court, je n'avais pas envie de recevoir dans ce café de confidences sur une infidélité éventuelle.

Un troisième témoin, qui a vécu pendant huit ans avec Véronique Pirotton, était également présent mercredi. Ils se sont rencontrés durant leurs années secondaires, et ont commencé à flirter à l'âge de 17 ans. Il n'a jamais remarqué dans le chef de la victime de problèmes particuliers avec l'alcool. Il évoque une certaine fragilité due à son enfance et le manque d'image du père. Le témoin estime par ailleurs qu'elle n'était pas suicidaire. Evoquant certains actes, comme une fois où elle avait sauté d'une fenêtre à 2,5 mètres du sol, il les interprète principalement comme une sorte d'appel au secours. Ce serait presque une injure de dire qu'elle tentait de se suicider et que ça ne marchait pas, car elle était intelligente et brillante.Durant son témoignage, il est revenu sur une relation entre Véronique Pirotton et un professeur de religion du collège. Elle lui avait écrit une lettre à ce sujet au début de leur histoire, lui disant qu'elle ne voulait pas que cette histoire interfère entre eux. A la fin de leur rhéto, plusieurs élèves, dont le témoin, avaient contacté le directeur à ce sujet. Mais cela n'a pas abouti, car ce directeur et le professeur étaient amis, selon lui.

On parle d'un viol, dans les termes de la loi, mais pour moi, elle n'a pas vécu cela réellement comme un viol, mais comme une relation, malsaine, d'accord, mais c'était une relation. Elle l'avait cependant contacté lorsque, plus tard, elle avait porté plainte contre ce professeur. Elle m'a dit qu'elle avait décidé de déposer plainte parce que Victor allait atteindre l'âge où cela lui était arrivé, ajoute-t-il. Cet enseignant sera également entendu.Véronique Pirotton lui avait enfin annoncé son mariage avec le parlementaire Bernard Wesphael par SMS. Il ne l'a plus revue après son mariage. Ils ont toutefois eu des contacts ponctuels par messages. A la fin de l'un d'eux, elle écrit: Ne me retéléphone pas, car l'autre me fait des crises de jalousie horribles. J'ai supposé que ça désignait son mari. Le couple qui occupait la chambre 502 de l'hôtel Mondo, les 30 et 31 octobre 2013, a été auditionné mercredi après-midi par la cour d'assises du Hainaut. Il a entendu beaucoup de bruit venant de la chambre du dessus durant les deux soirées qu'il a passées dans cet hôtel avec ses deux enfants. Un des enfants a comparé les cris et les pleurs de la victime à un loup qui hurle. Un détail confirmé par Bernard Wesphael. Me Mayence a demandé à la cour de vérifier les plans de l'hôtel. Le couple était en séjour à Ostende les 30 et 31 octobre 2013, avec ses deux enfants âgés de 5 et 7 ans à l'époque. La famille logeait dans la chambre située en-dessous de celle occupée par Bernard Wesphael et Véronique Pirotton.

Le 30 octobre au soir, la famille est rentrée vers 20h. Quand les enfants sont partis dormir, entre 21 et 22h, on a entendu du bruit, cela semblait être un couple qui avait des relations sexuelles très bruyantes. Cela a duré toute la nuit, raconte le père de famille.Selon Me Mayence, Bernard Wesphael et Véronique Pirotton ne sont rentrés dans leur chambre qu'à 23h41 ce soir-là. L'avocat de la défense souhaite que le président demande de vérifier le plan de l'hôtel car le couple est certain que le bruit venait de la chambre du dessus. Reste à savoir s'il s'agissait bien de la 602.Le lendemain, la famille est sortie en ville. Elle est rentrée dans sa chambre entre 21 et 22h. Les bruits ont recommencé de manière plus bruyante et cela nous semblait plus violent que la veille. On entendait la femme pleurer, puis gémir, et puis se remettre à pleureur. Notre aîné, qui regardait la télé, a comparé cela à un loup qui hurle. Cela a duré un certain temps avec des choses qui tombaient sur le sol.Contrairement à la veille, la famille a entendu la voix d'un homme. Cette voix disait quelque chose de manière répétitive, poursuit le témoin, certain que cela venait de la chambre du dessus.

Une photo a été tirée dans la chambre 502 par la mère de famille, avec un téléphone portable. Cette photo a été prise à 21h56, l'heure est certaine, affirme le père de famille. Enfin une heure correcte, souffle le président de la cour. A cette heure-là, les bruits venaient de débuter selon le témoin. Me Mayence leur a demandé si l'heure était bien l'heure d'hiver, car le changement d'heure a eu lieu le 27 octobre. Mon Iphone se synchronise sans manipulation, répond le témoin.Quant à son épouse, elle confirme les déclarations de son époux. J'étais très irritée par les bruits car les enfants pouvaient l'entendre. A un moment donné, on a augmenté le son de la télévision pour que les enfants n'entendent plus le bruit. J'étais fâchée car ce bruit ne semblait pas normal, dit-elle.J'ai entendu cette femme qui pleurait comme un enfant, par à-coup. J'ai entendu quelqu'un qui avait un pas rapide. Après, on a entendu beaucoup de pas, des gens qui parlaient mais on ne comprenait pas, poursuit celle qui s'est sentie mal quand la police est venue les interroger le 1er novembre au matin. La police m'a dit qu'on avait trouvé un corps, j'étais choquée.

  1. https://www.wireclub.com/users/retrouve3/blog
  2. http://www.rondeetjolie.com/blog/retrouve3.html
  3. http://www.getjealous.com/retrouve3

 






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最終更新日  2017.05.19 12:10:32
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